Ce poste est à pourvoir à la Division des opérations et de la mobilisation du Bureau de la coordination des affaires humanitaires (BCAH), qui est le service du secrétariat de l’ONU chargé de rassembler les acteurs humanitaires afin d’assurer des interventions cohérentes en cas d’urgence. Le BCAH veille également à la mise en place d'un cadre permettant à chaque acteur de contribuer aux efforts d'intervention général. Le Bureau de la coordination des affaires humanitaires a pour mission de mobiliser et de coordonner une action humanitaire efficace en partenariat avec les acteurs nationaux et internationaux afin de soulager la souffrance humaine en cas de catastrophes et d’urgences ; de promouvoir les droits des populations dans le besoin ; de promouvoir la préparation aux situations d’urgence et leur prévention de ces situations et de faciliter des solutions durables.
Cet avis de vacance est publié pour un poste à pourvoir à Mogadishu, en Somalie. Le Chef de Bureau appuie le Coordonnateur résident et le Coordonnateur de l’action humanitaire des Nations Unies sous la direction générale du Directeur de la Division des opérations et de la mobilisation du Bureau de la coordination des affaires humanitaires.
Dans les limites des pouvoirs qui lui sont délégués, et sous la direction et l'orientation générales du Directeur de la Division des opérations et de la mobilisation du Bureau, et à l’appui du Coordonnateur résident et du Coordonnateur de l’action humanitaire, le titulaire s’acquitte des fonctions ci-après :
I. Politique humanitaire
• Exercer les fonctions de conseiller principal auprès du Coordonnateur résident et du Coordonnateur de l’action humanitaire de l’ONU, de l'équipe de pays des Nations Unies et de l'équipe de pays chargée de l'action humanitaire sur les principes et initiatives humanitaires.
• Établir et entretenir le contact avec la communauté internationale afin de sensibiliser sur les questions humanitaires et de les promouvoir.
• Pr endre des mesures visant à renforcer la coopération entre les acteurs de la communauté humanitaire sur les questions stratégiques à caractère interinstitutionnel et servir d'interlocuteur principal avec les partenaires gouvernementaux concernés.
• Conseiller et orienter le Coordonnateur résident et le Coordonnateur de l’action humanitaire de l’ONU, l'équipe de pays des Nations Unies et l'équipe de pays chargée de l'action humanitaire sur les initiatives à mener en vue d'une réforme humanitaire, y compris sur la coordination par groupe sectoriel, le financement humanitaire et autres, et leur fournir un appui à cet égard.
• Entreprendre des activités de diplomatie humanitaire et de sensibilisation de haut niveau avec toutes les parties pour veiller à la mise en œuvre d'une action humanitaire fondée sur des principes à l’appui du Coordonnateur résident, du Coordonnateur de l’action humanitaire et de l’équipe de pays chargée de l’action humanitaire.
• Encadrer l’élaboration de politiques et l’adoption de mesures permettant de rendre opérationnelle la protection des civils, les interventions en faveur des personnes déplacées et l’établissement du lien entre humanitaire et développement dans le cadre de la politique humanitaire du BCAH à travers le monde et de son mandat de coordination civilo-militaire.
II. Programmation / coordination humanitaire
• Fournir un appui stratégique au Coordonnateur résident et au Coordonnateur de l’action humanitaire des Nations Unies dans l'élaboration, la mise en œuvre et le suivi du plan de travail de la communauté humanitaire, solliciter et négocier des contributions avec les autorités compétentes, les organismes de l'ONU et les ONG entre autres.
• Consulter régulièrement le Coordonnateur résident, le Coordonnateur de l'action humanitaire, les chefs des organismes et programmes des Nations Unies, les chefs de mission des ONG, le gouvernement et la communauté des donateurs sur tous les aspects adéquats de la mise en œuvre et de l'exécution des activités humanitaires, afin de garantir la cohérence et la rentabilité des structures de coordination locales, provinciales et nationales.
• Appuyer la planification, le suivi et l'évaluation des programmes humanitaires, faciliter l'intégration des enseignements tirés, des orientations stratégiques etc. dans les activités relatives aux interventions humanitaires.
• Promouvoir les meilleures pratiques dans la planification, l'intervention et l'évaluation humanitaire.
• Faciliter les efforts de mobilisation des ressources interinstitutions, y compris la fourniture d'une assistance internationale spécialisée afin de répondre aux urgences en cours, nouvelles ou émergentes.
• Développer, renforcer et maintenir des mécanismes de coordination efficaces avec l'équipe de pays chargée de l'action humanitaire et d'autres acteurs clés du secteur humanitaire.
• Mettre sur pied et administrer des systèmes de gestion de l'information permettant de dûment recenser les besoins et les interventions humanitaires, afin de contribuer aux efforts de coordination.
• Promouvoir et renforcer les passerelles entre les activités de suivi de la situation sur le terrain, de gestion de l’information et de coordination.
• Veiller à fournir en temps voulu une assistance adéquate au Coordonnateur résident et au Coordonnateur de l’action humanitaire, et (le cas échéant), aux équipes des Nations Unies pour la gestion des catastrophes (EGC) lors des situations d'urgence et des interventions en cas de catastrophes.
• Appuyer les efforts interinstitutions visant à renforcer la capacité des pays à gérer les interventions en cas de catastrophe naturelle.
• Fournir un appui fonctionnel et des directives aux institutions gouvernementales et aux organismes humanitaires locaux afin de renforcer la capacité des pays en matière de gestion des urgences et des catastrophes.
• Promouvoir le dialogue, les alliances régionales, l'échange de connaissances et le partage de ressources parmi les acteurs humanitaires nationaux, et, selon qu'il convient, régionaux, en matière de réduction des risques de catastrophe, de préparation aux situations d'urgence et d'intervention en cas de catastrophe.
• Promouvoir et diriger les processus de planification d'urgence en collaboration étroite avec l'EGC et les conseillers régionaux pour la réduction des catastrophes selon qu'il convient.
• Mettre sur pied des initiatives conjointes sur la gestion des catastrophes avec d'autres acteurs des Nations Unie et (le cas échéant) des acteurs régionaux, y compris des mécanismes d'alerte rapide.
• Sous la direction générale du Directeur de la Division des opérations et de la mobilisation, et en partenariat avec d'autres organes du BCAH, s'atteler à renforcer les réseaux et mécanismes régionaux en vue d'interventions rapides et efficientes face aux situations humanitaires naissantes.
III. Gestion du Bureau / Représentation du BCAH
• Exercer les fonctions de Chef de Bureau du BCAH sur les lieux d'affectation indiqués, superviser toutes les activités administratives et de programmation nécessaires au bon fonctionnement du bureau et des bureaux auxiliaires du BCAH, et rendre compte de l'utilisation des ressources et des résultats obtenus.
• Diriger la planification du travail et les processus budgétaires ; appuyer la mobilisation des ressources et en assurer une bonne gestion financière.
• Superviser régulièrement et efficacement le personnel du BCAH, notamment l'encadrer, le gérer, le former et en assurer le perfectionnement ; encourager l'esprit d'équipe et la communication parmi le personnel et renforcer les liens entre le personnel de terrain et les bureaux régionaux et du Siège.
• Promouvoir le mandat, les objectifs et les outils du BCAH dans la région dont il a la charge en établissant le contact avec le gouvernement, les missions diplomatiques, les organismes des Nations Unies, les organisations non gouvernementales et les médias.
• Veiller à ce que le Bureau produise en temps voulu des travaux de grande qualité, y compris, entre autres, des programmes de travail complets, des comptes rendus de situation concis et concrets, des documents analytiques et des produits d'information complets et fondés sur des données factuelles.
• S'acquitter de toutes autres tâches qui pourraient lui être confiées par le Coordonnateur résident et le Coordonnateur de l’action humanitaire ou le Directeur de la Division des opérations et de la mobilisation.
• PROFESSIONNALISME : Connaissance approfondie des questions complexes et multidimensionnelles ayant trait aux affaires humanitaires et une vaste expérience des activités d’assistance humanitaire et de secours d’urgence ; aptitude à fournir des conseils au (à la) Coordonnateur(trice) résident(e)/Coordonnateur(trice) de l’action humanitaire de l’ONU et à l’équipe de direction concernant les stratégies et les techniques permettant de résoudre des problèmes humanitaires complexes et sensibles ; capacité d’analyse théorique et stratégique et aptitude à analyser et à évaluer de manière approfondie les aspects critiques de questions et problèmes très divers dans les domaines des affaires humanitaires et des secours d’urgence ; aptitude à gérer efficacement l’élaboration et la mise en oeuvre de politiques et de projets importants ; aptitude à travailler sous forte pression, y compris dans un environnement dangereux, tout en restant productif et efficace ; excellente connaissance des mandats, politiques et directives institutionnels relatifs aux affaires humanitaires ainsi que des organismes des Nations Unies et des organisations non gouvernementales, en particulier des politiques humanitaires et des principes régissant l’action humanitaire ; connaissance du mandat institutionnel de l’OCHA, de ses politiques et de ses procédures organisationnelles, et connaissance des principales politiques et des principes directeurs de l’Organisation des Nations Unies et du Comité permanent interorganisations en ce qui concerne les affaires humanitaires internationales ; aptitude à examiner et corriger les travaux de ses subordonnés, et à y contribuer par des analyses et une orientation intellectuelle ; aptitude à travailler dans un environnement difficile.
• APTITUDE À PLANIFIER ET À ORGANISER : Définir clairement des buts compatibles avec les stratégies convenues. Hiérarchiser les activités et tâches prioritaires ; modifier les priorités en fonction des besoins ; prévoir suffisamment de temps et de ressources pour mener sa tâche à bien ; tenir compte des risques et des imprévus dans la planification ; suivre l’exécution des plans et les modifier s’il y a lieu ; tirer le meilleur parti du temps dont on dispose.
• SENS DES RESPONSABILITÉS : Assumer toutes ses responsabilités et honorer ses engagements ; livrer les produits dont on a la responsabilité dans les délais et au coût prévus, en se tenant aux normes de qualité ; se conformer aux règles et procédures de l’Organisation ; soutenir ses subordonnés, les encadrer et assumer la responsabilité des tâches qui leur sont déléguées ; prendre personnellement la responsabilité de ses propres erreurs et, le cas échéant, de celles de son service.
COMPÉTENCES EN MATIÈRE D’ENCADREMENT
• QUALITÉS DE CHEF : Servir de modèle à son entourage ; armer chacun des membres de son équipe des atouts nécessaires pour atteindre les objectifs visés ; s’employer avec dynamisme à mettre au point les stratégies opérationnelles requises ; établir et entretenir des relations très diverses afin de comprendre les besoins et de
s’assurer des appuis ; prévoir les conflits et s’efforcer de les résoudre à l’amiable ; s’investir dans le changement et le progrès ; être prêt(e) à remettre en question le statu quo si nécessaire et avoir le courage de prendre des positions impopulaires. Prendre l’initiative et la responsabilité de tenir compte des questions de genre et d’assurer l’égale participation des femmes et des hommes dans toutes les activités ; faire la preuve d’une bonne connaissance des stratégies visant à équilibrer les effectifs masculins et féminins et manifester la volonté d’atteindre cet objectif.
• SÛRETÉ DE JUGEMENT/APTITUDE À DÉCIDER : Discerner les éléments clefs dans les situations complexes et aller rapidement au coeur du problème ; recueillir toute l’information nécessaire avant de prendre une décision ; s’interroger sur l’incidence à la fois bénéfique et préjudiciable que les décisions peuvent avoir avant de se déterminer ; ne prendre de décisions qu’après en avoir mesuré les conséquences pour autrui et pour l’Organisation ; ne proposer de lignes d’action ou formuler de recommandations qu’en toute connaissance de cause et en tenant compte des risques ; vérifier les hypothèses en les confrontant aux faits ; s’assurer que les dispositions qu’il est envisagé de prendre répondent aux besoins explicitement ou implicitement exprimés ; savoir prendre des décisions douloureuses quand les circonstances l’exigent.prendre des décisions douloureuses quand les circonstances l’exigent.
Diplôme universitaire du niveau du master dans le domaine de l'administration publique ou des entreprises, de la finance, de la comptabilité, du droit, des sciences sociales, des affaires internationales, des sciences politiques ou dans toute autre discipline apparentée. À défaut, un diplôme universitaire de premier cycle assorti de deux années supplémentaires d’expérience pertinente.
- Au moins quinze (15) années d’expérience professionnelle, à des niveaux de responsabilité de plus en plus élevés, dans la coordination des secours en cas de catastrophe, l'assistance humanitaire, la gestion des ressources humaines, l'administration, la logistique, la gestion financière, le budget ou dans tout autre domaine connexe sont exigées.
- Cinq (5) années d’expérience au niveau international sont exigées.
- Deux (2) années d’expérience acquise sur le terrain dans le cadre de situations d’urgence (situations d’urgence complexe, catastrophes naturelles) sont exigées.
- Une expérience de l’encadrement et de la coordination des opérations de secours humanitaire acquise dans une situation d’urgence complexe ou dans le cadre d’une catastrophe naturelle est exigée.
- Une expérience à un niveau de supervision adéquate (niveau P-5 ou plus) est exigée.
- Une expérience au sein d'une organisation relevant du régime commun des Nations Unies ou d'une organisation internationale analogue est souhaitable.
L’anglais et le français sont les deux langues de travail du Secrétariat de l'organisation des Nations Unies. Pour le poste faisant l’objet du présent avis, la maîtrise de l'anglais est indispensable. La connaissance d'une autre langue officielle de l'Organisation est souhaitable.
Les candidats qualifiés pourront être invités à participer à une évaluation, puis, éventuellement, à un entretien axé sur les compétences.
Ce poste est financé pour une durée limitée d’un an qui pourra être prolongée. L’engagement ne sera prolongé que si le mandat du Bureau est prorogé ou si les fonds nécessaires sont disponibles.
Des antécédents impeccables du point de vue de l’intégrité et du respect des règles déontologiques sont indispensables.
Les fonctionnaires sont soumis à l’autorité du Secrétaire général, qui décide de leur affectation. Au fil de leur carrière, ils sont censés changer de fonctions périodiquement, conformément aux règles et procédures en vigueur.
Le Secrétariat de l’ONU recherche un équilibre égalitaire de ses effectifs masculins et féminins. Les candidatures féminines sont vivement encouragées.
Des antécédents impeccables du point de vue de l’intégrité et du respect des règles déontologiques sont indispensables.
Pour l’Organisation des Nations Unies, la considération dominante dans le recrutement et l’emploi du personnel est la nécessité de s’assurer les services de personnes possédant les plus hautes qualités de travail, de compétence et d’intégrité, tout en tenant compte de la diversité géographique. Toutes les décisions de recrutement sont prises sur la base des qualifications des candidates et candidats et des besoins de l’Organisation. L’Organisation des Nations Unies s’engage à créer un environnement diversifié et inclusif et à instaurer un climat de respect mutuel. Elle recrute et emploie les membres de son personnel quels que soient leur identité de genre, leur orientation sexuelle, leur race, leur religion, leur origine culturelle ou ethnique ou leur handicap. Des aménagements raisonnables peuvent être prévus pour faciliter la participation des candidates ou candidats handicapé(e)s aux procédures de recrutement lorsque cela est indiqué et demandé dans le dossier de candidature.
Pour ce poste, les personnes originaires des États Membres suivants, qui sont non représentés ou sous-représentés au Secrétariat de l’ONU au 31 juillet 2020, sont vivement encouragés à faire acte de candidature : Afghanistan, Andorre, Angola, Antigua-et-Barbuda, Arabie saoudite, Bahreïn, Belize, Brésil, Brunéi Darussalam, Cabo Verde, Cambodge, Chine, Comores, Cuba, Dominique, Émirats arabes unis, États fédérés de Micronésie, États-Unis d’Amérique, Fédération de Russie, Gabon, Grenade, Guinée équatoriale, Guinée-Bissau, Îles Marshall, Îles Salomon, Japon, Kiribati, Koweït, Lesotho, Libéria, Libye, Liechtenstein, Luxembourg, Monaco, Mozambique, Namibie, Nauru, Norvège, Oman, Palaos, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Qatar, République bolivarienne du Venezuela, République de Corée, République démocratique populaire lao, République populaire démocratique de Corée, Saint-Vincent-et les Grenadines, Sainte-Lucie, Saint Marin, Sao Tomé-et-Principe, Soudan du Sud, Suriname, Timor-Leste, Tuvalu, Vanuatu.
Aux termes du paragraphe 3 de l’Article 101 de la Charte des Nations Unies, la considération dominante dans le recrutement du personnel doit être la nécessité d’assurer à l’Organisation les services de personnes possédant les plus hautes qualités de travail, de compétence et d’intégrité. Ne seront pas retenues les candidatures des personnes qui ont commis des violations du droit international des droits de l’homme, des violations du droit international humanitaire, des actes d’exploitation, d’atteintes ou de harcèlement sexuels, ou au sujet desquelles il existe des raisons plausibles de croire qu’elles ont été impliquées dans la commission de tels actes. L’expression « exploitation sexuelle » désigne le fait d’abuser ou de tenter d’abuser d’un état de vulnérabilité, d’un rapport de force inégal ou de rapports de confiance à des fins sexuelles, y compris mais non exclusivement en vue d’en tirer un avantage pécuniaire, social ou politique. On entend par « atteinte sexuelle » toute atteinte physique de nature sexuelle commise par la force, sous la contrainte ou à la faveur d’un rapport inégal, ou la menace d’une telle atteinte. Le harcèlement sexuel s'entend de tout comportement déplacé à connotation sexuelle raisonnablement propre ou de nature à choquer ou humilier, lorsqu'il entrave la bonne marche du service, est présenté comme une condition d'emploi ou crée au lieu de travail un climat d'intimidation, d'hostilité ou de vexation, et lorsque ce comportement est assez grave pour justifier le licenciement de son auteur. La candidature de personnes qui ont commis des infractions autres que des infractions mineures au code de la route ne sera pas retenue.
Sera dûment prise en considération l'importance d'un recrutement effectué sur une base géographique aussi large que possible. Aucune restriction ne sera imposée par l'Organisation à l'accès des hommes et des femmes, dans des conditions égales, à toutes les fonctions, dans ses organes principaux et subsidiaires. Le Secrétariat de l'Organisation des Nations Unies est un espace non-fumeurs.
La considération dominante dans l’engagement, la mutation ou la promotion du personnel est la nécessité de s’assurer les services de personnes possédant les plus hautes qualités de travail, de compétence et d’intégrité. En acceptant une offre d’engagement, les membres du personnel sont soumis(es) à l’autorité du Secrétaire général, qui peut leur assigner l’une quelconque des tâches ou l’un quelconque des postes de l’Organisation des Nations Unies, conformément à l’alinéa c) de l’article 1.2 du Statut du personnel. Dans ce contexte, tous les membres du personnel recrutés sur le plan international sont tenus de changer de fonctions périodiquement à l’intérieur d’un même lieu d’affectation ou dans un autre lieu d’affectation, dans les conditions fixées par le Secrétaire général.
Les candidats sont invités à respecter scrupuleusement toutes les instructions disponibles sur la plateforme de recrutement en ligne Inspira. Pour des informations plus détaillées, ils ou elles peuvent consulter le manuel d'instructions pour le candidat, en cliquant sur le lien hypertexte « Manuels » sur le côté supérieur droit de la page d'accueil de leur compte Inspira.
Les candidatures feront l'objet d'une évaluation et d'un examen préalables sur la base des informations soumises conformément aux critères d'évaluation de l'avis de vacance de poste et aux dispositions législatives internes applicables de l'Organisation des Nations Unies, notamment la Charte des Nations Unies, les résolutions de l'Assemblée générale, le Statut et le Règlement du personnel, les textes administratives et les directives. Les candidats doivent fournir des informations exhaustives et précises conformément aux instructions fournies sur la plateforme Inspira. Une fois la candidature envoyée, aucune modification, suppression ou révision, ni aucun ajout ou changement ne pourra être fait. Il sera procédé à une vérification des références des candidats faisant l'objet d'une attention particulière pour s'assurer de l'exactitude des renseignements qu’ils ont fournis dans leur candidature.
Les avis de vacance de postes publiés sur le Portail des carrières sont retirés à 11:59 p.m. (heure de New York), le jour de la date limite de dépôt des candidatures.
L’ONU NE PERÇOIT DE FRAIS À AUCUN STADE DU RECRUTEMENT (DÉPÔT OU TRAITEMENT DE LA CANDIDATURE, ENTRETIEN, FORMATION, ETC.), ET ELLE NE DEMANDE AUCUNE INFORMATION BANCAIRE.